Monday, May 29, 2006
And the Death Penalty Should Go to...
Esclaves sexuels, voleurs forcés ou encore punching-balls : une centaine d’enfants ont été exploités pendant des années dans plusieurs pays européens, révèle lundi la BBC sur son site internet. Ce vaste réseau a été démantelé ces derniers jours avec l’arrestation de 41 personnes de nationalité bulgare, point d’orgue d’une enquête menée depuis deux ans, sous la houlette de la police italienne de Trieste. Les cas de 75 autres personnes font encore l’objet d’une enquête.
Selon les autorités, les enfants victimes de ce réseau ont été exploités sexuellement et contraints de plonger dans la criminalité. La plupart d’entre eux, originaires de Bulgarie, ont été enlevés alors qu’ils n’avaient qu’entre huit et treize ans. Ces enfants ont ensuite été transportés vers plusieurs pays européens, dont la Grande-Bretagne et l’Allemagne.
Ils auraient été vendus par leurs parents déshérités. Un contrat était même établi pour chaque victime entre les deux parties. En échange, les parents étaient assurés de percevoir un pourcentage sur les vols commis par leur progéniture. De son côté, le gang garantissait un minimum de 1.000 euros volés par jour et par enfant.
Première cibles des trafiquants : les jeunes victimes, épargnées par les poursuites judiciaires dans de nombreux pays. « Le groupe tirait profit du fait qu’un enfant de moins de 14 ans ne peut être arrêté en Italie », explique un carabinier italien. Les enfants, maintenus à l’état d’esclaves, menacés et battus, étaient entraînés aux méandres de la petite criminalité pour devenir des pickpockets qualifiés. L’argent, volé à l’arraché, était ensuite réinvesti dans le trafic de drogues.
Pour l’heure, les enquêteurs ont identifié une centaine d’enfants, mais il pourrait y en avoir davantage.
Why should people like this be allowed to live? So many honest people, children, dying of hunger, and crap like this is being kept alive.
Just kill them, and you send a nice message too - to all the others.
Selon les autorités, les enfants victimes de ce réseau ont été exploités sexuellement et contraints de plonger dans la criminalité. La plupart d’entre eux, originaires de Bulgarie, ont été enlevés alors qu’ils n’avaient qu’entre huit et treize ans. Ces enfants ont ensuite été transportés vers plusieurs pays européens, dont la Grande-Bretagne et l’Allemagne.
Ils auraient été vendus par leurs parents déshérités. Un contrat était même établi pour chaque victime entre les deux parties. En échange, les parents étaient assurés de percevoir un pourcentage sur les vols commis par leur progéniture. De son côté, le gang garantissait un minimum de 1.000 euros volés par jour et par enfant.
Première cibles des trafiquants : les jeunes victimes, épargnées par les poursuites judiciaires dans de nombreux pays. « Le groupe tirait profit du fait qu’un enfant de moins de 14 ans ne peut être arrêté en Italie », explique un carabinier italien. Les enfants, maintenus à l’état d’esclaves, menacés et battus, étaient entraînés aux méandres de la petite criminalité pour devenir des pickpockets qualifiés. L’argent, volé à l’arraché, était ensuite réinvesti dans le trafic de drogues.
Pour l’heure, les enquêteurs ont identifié une centaine d’enfants, mais il pourrait y en avoir davantage.
Why should people like this be allowed to live? So many honest people, children, dying of hunger, and crap like this is being kept alive.
Just kill them, and you send a nice message too - to all the others.